La start-up valaisanne Qaptis, qui développe une technologie de capture du CO2 dans le domaine des transports routiers, a besoin de votre soutien ! Elle été sélectionnée parmi les trois finalistes du Prix SUD, décerné par Le Temps. Elle a été choisie parmi 75 candidatures, en compagnie de deux autres jeunes pousses. N’hésitez pas à voter, avant le 2 mai prochain, pour soutenir Qaptis. Le gagnant sera connu le 23 mai.

Elles s’appellent Oxara, Solarsplit et Qaptis et elles sont les start-up qu’un panel d’experts a retenu comme finalistes pour la remise du Prix SUD (pour Start-Up Durable). Les trois sociétés devront désormais défendre leur projet devant les quatre membres du jury. Le public pourra aussi s’exprimer et il représentera une cinquième voix. Les votes sont ouverts jusqu’au 2 mai et peuvent se faire directement sur cette page web.

L’entreprise gagnante bénéficiera d’un suivi de ses activités par la rédaction du quoditien Le Temps, d’un accès aux espaces de co-working ainsi que d’un soutien d’une année pour déployer une stratégie de communication.
 

Un prototype déjà en place auprès d’un des leaders du transport routier

Pour rappel, Qaptis, accompagnée par la Fondation The Ark dans le cadre de son programme d’incubation, est spécialisée dans la technologie de capture du CO2 pour les véhicules lourds. Sa solution innovante capture jusqu’à 90 % des émissions de carbone directement à partir du tuyau d’échappement, une grande avancée dans la lutte contre le changement climatique. La simplicité, l’efficacité et le coût abordable du système en font un choix intéressant pour les transporteurs qui cherchent à décarboniser rapidement leurs flottes sans avoir à réviser les véhicules ou les infrastructures existants. La jeune entreprise s’est d’ailleurs associée à Friderici Spécial fin 2023 afin de déployer son prototype en conditions réelles avec pour objectif, la commercialisation de son système de capture du CO2 sur les camions d’ici 2026. 

 

 

L’an dernier, c’est une jeune pousse de l’EPFL, Bloom Biorenewables, qui avait gagné le Prix SUD. Elle exploite le potentiel du bois et autres pailles pour fabriquer du plastique, des solvants ou des parfums, aujourd’hui dérivés des hydrocarbures.

 

Source : Le Temps / Prix Sud